Soif sensible

« A une période particulière de ma vie, seule la nature apaisait ma douleur. J’étais en Jordanie. La mer Morte était mon refuge ». Là, le photographe capte les secrets de la vie et de la mort, ceux de la continuité comme de l’immortalité. Le résultat : des œuvres infiniment poétiques qui ruissellent de beauté, des reliefs vibrants, transparents, onctueux, qui célèbrent les noces de la pierre et de l’eau. Pour désaltérer l’âme. Jusqu’à plus soif.

Anne Kerner
Muséart
Mai 1996